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lundi 14 octobre 2013

Prologue de la mini-transat

 Le prologue "Tout commence en Finistère"
a eu lieu le 6 octobre 2013 en baie de Douarnenez!


Résumé du Prologue " Tout commence en Finistère " par minitransat

C'est sympa de naviguer parmi des bateau à peine plus grand que nos kayaks.

jeudi 10 novembre 2011

Merci Les sauveteurs en Mer de Camaret(29)

18 Juin 2010
 
Lundi 7 juin, le canot SNS 097 Notre-Dame de Rocamadour-Gema est en mer pour une cérémonie de dispersion de cendres. Le vent de Sud-Sud-ouest est de force 4 à 5 et à 14h50, le CROSS signale un groupe de kayakistes en difficulté devant la Pointe des Capucins, à l’entrée du Goulet, soit à 1,8 Mille de la position des sauveteurs. Un hélicoptère survole les naufragés et guide le canot vers les deux kayaks dont les passagers soutiennent un homme à la mer, ne pouvant l’embarquer. A 15h00, les Sauveteurs en Mer recuillent le naufragé à bord.
       L'homme est déshabillé et réchauffé sous des couvertures.  Il est très choqué, mais conscient. Près de la Pointe des Capucins, les sauveteurs trouvent 7 autres kayaks, dont un inoccupé, mais ils n’ont pas besoin d’assistance. Le canot accoste à la cale des mareyeurs à 15h25, et le SAMU évacue le naufragé.

D'autres Fortunes de mer ICI

mardi 8 novembre 2011

Merci Les sauveteurs en Mer de Saint-Mandrier(83)


Pour les sauveteurs, chaque alerte est un compte à rebours. Encore plus quand il s'agit d'un kayakiste, qui se signale en difficulté peu avant 19 h. Il fallait le retrouver avant la tombée de la nuit.

L'homme a prévenu les secours avec son portable, en faisant le 18. Il se situait « entre un et deux kilomètres de la côte, selon ses propres estimations », relate l'officier de permanence au Cross-Med, la vigie qui coordonne les opérations de secours en mer.

La vedette SNSM de Saint-Mandrier, commandée par Jean-Louis Kléparsky, a retrouvé le kayak en moins d'un quart d'heure. À ce moment, le vent soufflait encore à 50 km/h, avec des creux d'environ un mètre.

L'homme ne portait pas de gilet de sauvetage et n'était pas muni de moyens lumineux pour se signaler.

« C'est une marque d'imprudence », soulignent les sauveteurs.

        Il a expliqué qu'il avait l'habitude de partir en mer, mais que le vent d'ouest l'avait fait dériver vers l'est. Impossible de revenir « à la force des bras ».
« En moins d'une heure, le kayakiste a parcouru une distance de plus de 6 km », pointe Jean-Louis Kléparsky. L'homme a été récupéré à 1,8 km de la côte, au sud du cap Sicié, selon les relevés du sauveteur.

Le conseil minimal de prudence est d'écouter la météo et de partir avec de quoi se rendre visible, comme une fusée de détresse, ou un feu à main. En pleine mer, un kayak ressemble à un tout petit point.
Source Var Matin